
La stratégie PRCIC
Le projet RCIC cherche à appuyer le gouvernement dans son objectif d’amélioration de la gouvernance locale et de la fonctionnalité des communes à travers un pilotage d’approches et d’instruments dans les zones visées. Il s’appuie sur une démarche participative de planification territoriale et financière et de cofinancement (État, communes, acteurs locaux, projet) des investissements locaux. Sour la tutelle du Ministère du Développement Communal, le projet RCIC propose la mise en place d’une facilité de financement, le Fonds de Développement Local, pour aider les trois communes à agir sur certains déterminants locaux la sécurité alimentaire et nutritionnelle, l’intégration des groupes vulnérables et du genre, les changements climatiques et le développement économique local. Cette approche permet de responsabiliser tous les acteurs locaux du développement dans la définition et la mise en œuvre des priorités de développement de chacune des communes concernées par le projet.
Le but est de démontrer qu’une dévolution de compétences accompagnée d’instruments d’investissement ciblés et affectés, et en particulier la responsabilité de la fourniture d’infrastructures et de services d’intérêt local, se traduit par des actions de développement répondant mieux à la demande des populations et rend plus efficaces et efficientes la mobilisation et l’affectation des ressources disponibles pour l’amélioration des conditions de vie des citoyens, mais tout particulière de s’attaquer à certains dysfonctionnements territoriaux.
Le PRCIC cherche à obtenir des effets directs sur l’insécurité alimentaire par un ciblage pertinent des investissements les mieux adaptés au contexte et les plus durables. L’intégration de ces investissements dans des plans de développement territorial et financier permet de renforcer leur efficacité et de garantir leur entretien.
Une stratégie intégrée d’intervention
La stratégie intégrée consiste en premier lieu à appuyer les collectivités locales dans leur maîtrise d’ouvrage. Au Burundi comme ailleurs, les collectivités locales ont en charge une compétence générale de développement local. Il en découle qu’ils doivent prendre en compte dans leurs actions l’ensemble des secteurs. Le PRCIC plaide pour une stratégie intégrée visant à renforcer la collaboration des interventions des différents acteurs en mettant les collectivités locales au centre des interventions, car elles ont la charge de gérer leur territoire et d’apporter des solutions en termes de développement et d’aménagement.
Ciblage
Le PRCIC cible et intégre la dimension sécurité alimentaire vers les groupes dits vulnérables à travers une approche d’investissement et des instruments spécifiques à la problématique de l’égalité et de l’équité de genre. Cela implique le renforcement du partenariat avec ONU-Femmes, à travers la mise en place de stratégies très concrètes visant la promotion de l’égalité entre les sexes et l’autonomisation des femmes dans les cadres des projets. Il s’agit de construire un modèle promoteur et intégrateur d’égalité et d’équité de genre dans les investissements en matière de sécurité alimentaire. Ceci est d’autant plus nécessaire que la majorité des femmes sont particulièrement vulnérables à l’insécurité alimentaire en raison du niveau élevé de pauvreté, de leurs accès limités aux moyens de production et de leur position sociale.
Intégration de la problématique environnementale et économique
En concordance avec sa démarche d’investissement, le PRCIC a développé un instrument financier ciblé et affecté sur les questions d’adaptation aux changements climatiques dénommé LoCAL, ainsi qu’une démarche intégrant la dimension économique dans ses pratiques au niveau local. La démarche du PRCIC est d’inclure de manière transversale les dimensions liées aux changements climatiques et au développement économique local, et cela en fonction de la problématique relevée par les analyses de vulnérabilité.
Le projet RCIC cherche à appuyer le gouvernement dans son objectif d’amélioration de la gouvernance locale et de la fonctionnalité des communes à travers un pilotage d’approches et d’instruments dans les zones visées. Il s’appuie sur une démarche participative de planification territoriale et financière et de cofinancement (État, communes, acteurs locaux, projet) des investissements locaux. Sour la tutelle du Ministère du Développement Communal, le projet RCIC propose la mise en place d’une facilité de financement, le Fonds de Développement Local, pour aider les trois communes à agir sur certains déterminants locaux la sécurité alimentaire et nutritionnelle, l’intégration des groupes vulnérables et du genre, les changements climatiques et le développement économique local. Cette approche permet de responsabiliser tous les acteurs locaux du développement dans la définition et la mise en œuvre des priorités de développement de chacune des communes concernées par le projet.
Le but est de démontrer qu’une dévolution de compétences accompagnée d’instruments d’investissement ciblés et affectés, et en particulier la responsabilité de la fourniture d’infrastructures et de services d’intérêt local, se traduit par des actions de développement répondant mieux à la demande des populations et rend plus efficaces et efficientes la mobilisation et l’affectation des ressources disponibles pour l’amélioration des conditions de vie des citoyens, mais tout particulière de s’attaquer à certains dysfonctionnements territoriaux.
Le PRCIC cherche à obtenir des effets directs sur l’insécurité alimentaire par un ciblage pertinent des investissements les mieux adaptés au contexte et les plus durables. L’intégration de ces investissements dans des plans de développement territorial et financier permet de renforcer leur efficacité et de garantir leur entretien.
Une stratégie intégrée d’intervention
La stratégie intégrée consiste en premier lieu à appuyer les collectivités locales dans leur maîtrise d’ouvrage. Au Burundi comme ailleurs, les collectivités locales ont en charge une compétence générale de développement local. Il en découle qu’ils doivent prendre en compte dans leurs actions l’ensemble des secteurs. Le PRCIC plaide pour une stratégie intégrée visant à renforcer la collaboration des interventions des différents acteurs en mettant les collectivités locales au centre des interventions, car elles ont la charge de gérer leur territoire et d’apporter des solutions en termes de développement et d’aménagement.
Ciblage
Le PRCIC cible et intégre la dimension sécurité alimentaire vers les groupes dits vulnérables à travers une approche d’investissement et des instruments spécifiques à la problématique de l’égalité et de l’équité de genre. Cela implique le renforcement du partenariat avec ONU-Femmes, à travers la mise en place de stratégies très concrètes visant la promotion de l’égalité entre les sexes et l’autonomisation des femmes dans les cadres des projets. Il s’agit de construire un modèle promoteur et intégrateur d’égalité et d’équité de genre dans les investissements en matière de sécurité alimentaire. Ceci est d’autant plus nécessaire que la majorité des femmes sont particulièrement vulnérables à l’insécurité alimentaire en raison du niveau élevé de pauvreté, de leurs accès limités aux moyens de production et de leur position sociale.
Intégration de la problématique environnementale et économique
En concordance avec sa démarche d’investissement, le PRCIC a développé un instrument financier ciblé et affecté sur les questions d’adaptation aux changements climatiques dénommé LoCAL, ainsi qu’une démarche intégrant la dimension économique dans ses pratiques au niveau local. La démarche du PRCIC est d’inclure de manière transversale les dimensions liées aux changements climatiques et au développement économique local, et cela en fonction de la problématique relevée par les analyses de vulnérabilité.